Les trois Lunes de Tanjor (Trilogie)

Par Joan Osca 

Auteur:

Ange → Ange est le pseudonyme commun d'Anne Guéro, née le 24 novembre 1966 à Tours, et de Gérard Guéro, né le 14 février 1964 à Clamart. Le nom de Ange est un mot-valise constitué des premières lettres de leurs prénoms : Anne et Gérard Guéro. Ce couple d'auteurs est aussi connu sous le nom de G.E. Ranne (Ger + Anne) et de G.-Elton Ranne.

Titre

Les trois Lunes de Tanjor. (Trilogie)

1. Le peuple Turquoise. 351 pages.
2. La flamme d’Harabec. 317 pages.
3. La mort d’Ayesha. 412 pages.

Résumé de la Trilogie

Dans les terres orientales de Tanjor, un monde féodal ravagé par les guerres et la peste, il y a deux catégories d’habitants : les personnes et le Peuple Turquoise, c'est-à-dire les esclaves.

C’est un peuple maudit par les dieux et devenu esclave il y a trois mille ans. L’histoire raconte qu’une étoile bleue est apparue au ciel formant la rune de la captivité. Ce signal néfaste, écrit par les dieux dans le tableau du firmament a été répandu et annoncé par les hauts prêtres, quelque temps après l’arrivé massive du Peuple Turquoise, traversant à pied les mers gelées et espérant trouver une nouvelle vie. Le signal était clair. Une étoile bleue pour un peuple aux yeux bleus et aux cheveux blonds.

Après tous ces milliers d’années, ils attendent l’arrivée d’Ayesha. Une déesse qui fera disparaître l’étoile de la captivité et qui les conduira vers leurs anciennes terres, vers un monde de liberté.

Critique/opinion.

Les thèmes principaux qui accompagnent l’argument sont l’existence du destin, la religion, la guerre et les conséquences à celle ci. Ils sont très bien mélangés dans cette histoire de fantasy épique.

Les personnages se débattent entre la foi et l’athéisme. Ils luttent contre les impositions et l’abus de pouvoir de la hiérarchie ecclésiastique. Ils profitent parfois de la croyance des gens alors qu’ils n’arrivent pas à savoir s’ils agissent librement ou par la volonté des dieux.

Quant au destin, les protagonistes essayent de fuir leur sort. Quand ils pensent s’en sortir, les dieux montrent que tout était prévu.

Pour ce qui est de la guerre, on trouve la misère et la cruauté humaine qui résultent des conflits. C'est-à-dire, elle montre le pire de l’être humain. Elle montre aussi la lutte interne apparue devant les décisions difficiles comme le sacrifice de certains pour sauver d’autres.

Il y a donc de l’espace pour la réflexion dans une histoire trépidante, pleine d’espoir, d’amour, de luttes, de mystère et de jeux politiques.

Recommandable pour les jeunes et ceux qui ont l’esprit jeune et tous les amants de l’aventure.